Madame Claire GUSTIN est décédée le à l’âge de 93 ans à la maison de retraite du Val-d’Ajol où elle séjournait depuis quatre ans.
Née Balandier le 6 avril 1928 au PréBosson hameau de la commune, elle prend pour époux Hubert Gustin en mai 1953, (décédé en 2002), et ont exploité la ferme familiale jusqu’à l’âge de la retraite.
Le couple a eu cinq enfants ; Anne-Marie, Odette, Geneviève, Odile et Michel. La famille s’est agrandie de 16 petits-enfants et 23 arrière-petits-enfants. Claire aimait jardiner elle partageait cette passion avec sa descendance, et le crochet occupait les journées hivernales au coin du feu.
Ses obsèques ont été célébrées mercredi 7 juillet en l’église du Val-d’Ajol.
Stéphanie Burton adjointe au Maire, avait réuni à la salle des Fêtes un groupe de personnes volontaires pour débattre d’un sujet qui tient à cœur tous les habitants, « L’eau », source de vie pour tous les êtres, et plantes vivant sur la planète.
Deux questions ont servi de fil conducteur : préserver l’eau potable, et, quelles méthodes pour la récupérer de l’eau de pluie.
La consommation d’eau en France.
Un français consomme en moyenne 148 litres d’eau par jour, à raison de :
Les solutions proposées pour les postes gloutons, sont déjà pratiquées par beaucoup de personnes :
Ils est proposé de faire fonctionner les toilettes avec l’eau de pluie, faire la chasse aux fuites dans la maison, arroser les fleurs avec l’eau de lavage des légumes, prendre une douche plutôt qu’un bain, récupérer l’eau de pluie pour l’arrosage du jardin..ETC
Avec 70% de la consommation mondiale d’eau, l’agriculture est le plus gros consommateur d’eau.
Pistes envisagées:
Créer des mares pour l’abreuvage des bovins, replanter des haies pour préserver les nappes phréatiques, pratiquer des cultures raisonnées, reprendre les méthodes de nos anciens en installant des vannes d’irrigation sur les ruisseaux et rivières pour réduire les apports d’engrais sur les terrains, mais vu la législation sur l’eau guère envisageable à notre époque.
la commune procède à d’importants travaux de rénovation sur les réseaux d’eau potable est d’assainissement, et s’est dotée de matériel performant pour la détection de ruptures des canalisations.
Il est constaté que le secteur qui prélève le plus d’eau est l’énergie hydraulique nucléaire, dont la plus grande partie est restituée en milieu naturel avec comme modification une élévation de la température d’eau rejetée d’un degré en moyenne.
La pluviométrie moyenne des Vosges est de 1400 mm par an.
Simulation de récupération d’eau sur un pan de toiture de 60 m2 est de 84 m2 par an.
La consommation d’eau potable évaluée pour d’un foyer de 4 personnes est de 200 m2 par an, celle des toilettes 1/3 de celle-ci, dont 66 m2 par an, pour le jardin 4% dont 8 m2.
Pour les toilettes et le jardin l’eau de pluie récoltée permettrait une économie de 74 m2 comblée par les 84 m2 d’eau de pluie récoltée du toit…
Surnom des Vosges est » le château d’eau de la Lorraine « .
C’est au CHR de Remiremont que Mme Odile OLIVIER âgée de 71 ans est décédée suite à un malaise survenu la veille à son domicile.
Elle est née au foyer de M et Mme Durupt le 25 mars 1950 au Val-d’Ajol.
le 16 octobre 1971 elle épousa Jean OLIVIER dont la profession est chauffeur de poids lourd. Le couple a eu trois enfants Alexandra, Émilien et Jérôme, la famille s’est agrandi avec la venue des petits-enfants : Stéphanie, Anaïs, Baptiste, Alice, Jean et Philippe.
Odile a été assistante maternelle à l’école Sainte Marie, ce lieu elle le connaissait bien y ayant effectué sa scolarité.
Dès le printemps les fleurs ornaient sa maison et le jardin était une passion pour elle, ainsi que les travaux de couture.
Ses obsèques ont été célébrées mardi 6 juillet en l’église du Val-d’Ajol.
Suite à l’orage de grêle survenu le 29 juin vers 9h30, le Val-d’Ajol a subi des dégâts importants. Certains Ajolais ont leur ramée de maison percée par les grêlons, les jardins potagers et les plantations de fleurs hachés menu. Les arbres fruitiers et autres feuillus ont souffert des vents violents et des impacts de grêle, la récolte de fruits déjà compromise par un printemps froid et pluvieux sera inexistante cette année 2021, sans oublier les dégâts occasionnés chez les agriculteurs sur certains secteurs (foin, blé, maïs et autres cultures), les coupures électriques suite à des chutes de poteaux et d’arbres sur les routes, etc.
La croix du Moncel est tombée à terre, brisée par le prunier voisin qui s’est abattu sur elle. Le fût, le croisillon et le dé sont cassés, seul le socle est intact.
Cette croix, qui fait partie des 146 croix qui jalonnent notre commune, date du 18ème siècle. Elle appartenait sans doute jusqu’en 1807 à la famille Richard du Moncel dont la fille a épousé Jean-Joseph Fleurot, jeune ostéologiste à la Broche. Lorsque que la ferme est vendue par les héritiers Richard, il est stipulé que la croix ne pourra être ni déplacée, ni échangée.
D’autres croix ont subi le même sort lors de cet épisode climatique hors norme…
Né le 26 mars 1924, Aimé est décédé à l’EHPAD du Val-d’Ajol où il séjournait depuis 2018.
Marié à Ginette Petitjean, le couple a eu une fille, Marie-Astrid, décédée accidentellement en 1997.
Aimé a repris la suite de son père qui était comptable à la manufacture de Buyer à Faymont, profession qu’il exercera jusqu’à l’âge de la retraite. Homme sportif, il n’hésitait pas à chausser les skis en hiver pour aller chercher dans un sac à dos l’argent des salaires au Val-d’Ajol.
En retraite, il donnait de son temps pour aider les ouvriers dans leurs diverses démarches.
C’était un fervent défenseur de ses racines et du patrimoine, il était un adhérent assidu du club des patoisants du Girmont et membre de l’association des Amis des Monuments anciens.
Ses obsèques ont eu lieu jeudi 1er juillet en l’église du Val-d’Ajol.
Née le 22 septembre 1934 au Fricounot, lieu-dit du Val-d’Ajol, Monique est décédée au centre hospitalier de Remiremont à l’âge de 86 ans.
Le 12 novembre 1952, elle épousa André Arnould, avec lequel elle exploita la ferme familiale à la Chaume. La famille s’agrandit avec la naissance de Martine et Isabelle.
Au décès de son mari, Monique descendra vivre au village pour se rapprocher de ses filles.
Elle a eu une petite-fille, Émilie, et deux arrière-petits-fils, Tom et Téo.
Monique était une personne avenante et active, elle faisait partie du groupe « Café-tricot » le mardi après-midi, elle aimait jouer aux cartes, jardiner, et écouter l’accordéon.
Ses obsèques ont eu lieu jeudi 1er juillet en l’église du Val-d’Ajol.
Andrée est décédée le 27 juin à son domicile situé à la Croisette, à l’âge de 77 ans.
Née au Val-d’Ajol le 6 avril 1944, elle effectuera sa scolarité dans la commune.
En 1962, elle épousa Étienne SIMONIN, le couple exploitera la ferme familiale jusqu’à l’âge de la retraite.
De cette union naîtront cinq enfants : Édith, Marilyne, Myriam, Raphaël et Mickaël. La famille s’est agrandie de onze petits-enfants et trois arrière-petits-enfants.
Andrée a été décorée de la médaille de la famille nombreuse.
Pendant quelques années, elle a participé au concours des maisons fleuries de la commune où elle a été classée parmi les premiers de sa catégorie.
Ses obsèques ont eu lieu mercredi 30 juin en l’église du Val-d’Ajol.
Pour clore cette année scolaire par un bon moment partagé tous ensemble, lundi 21 juin, les élèves de maternelle de l’école Sainte Marie ont pris le bus pour se rendre au parc « Guiguitte en Folie » en Haute Saône. Au programme de cette journée, une balade dans le parc animalier pour découvrir des animaux de toutes sortes : cochons d’Inde, cochons, lapins, tortues, chèvres, dindons, poules, paons, ânes, wallabys, chameaux, poneys, oies, canards, alpagas, lamas, reptiles… Les élèves ont également aimé observer des répliques d’autres espèces comme les koalas, gorilles, éléphants, mandrills, girafes, kangourous, ainsi que les représentations de nombreux dinosaures.
Ce parc offre de nombreuses activités divertissantes qui ont ravies les enfants : notamment plusieurs châteaux gonflables, une grande piscine de boules avec son toboggan, une salle de cinéma, une grande structure de jeu en bois, un circuit de véhicules à pédales. Les élèves ont aussi évolué sur le parcours du mini-golf avec du matériel adapté à leur taille. Quel plaisir à 4 ans de pouvoir faire « comme les grands » !
La météo a été agréable ; les élèves ont pu déguster leur pique-nique tranquillement.
La présentation par le soigneur d’un iguane et d’un python royal a marqué la fin de la visite. Les plus courageux ont pu les caresser. Nina, élève de moyenne section, a dit : « Le serpent, c’est doux, mais l’iguane pas trop ! »
Les enfants ont été enchantés par cette sortie dont ils ont aimé discuter à leur retour en classe le lendemain.
Le marché d’été du Girmont-Val-d’Ajol a été inauguré ce vendredi 25 juin sur des airs d’Épinettes des Vosges et d’autres pays, et de chants interprétés en patois par les membres de l’association « Des patoisants des trois rivières », de joyeux lurons retraités dont Del est le président.
La musique fut aussi de la partie ce dimanche sur le marché dominical ajolais où plusieurs groupes invités par l’association « L’Épinette des Vosges » ont enchanté le public durant près de 3 heures.
Petite présentation des musiciens :
– Un groupe familial de 4 musiciens suisses, Neoländeler, venu de la région de l’Emmenthal : Suzanne et Thomas, les parents, jouent sur de nombreux instruments traditionnels, tels que le cistre, l’accordéon, la flûte de l’Emmental, l’harmonica et le Häxeschit ou « bûche de sorcière », proche de l’épinette des Vosges. Leur fille, Iris, chante et maîtrise la guimbarde, le violon, l’harmonica, le Häxeschit… tandis que son compagnon, Lorü, la basse. Leur musique populaire traditionnelle est tantôt mélancolique, tantôt enflammée. Présents sur le festival pour la troisième fois, ils ont communiqué leur enthousiasme au public.
– Thérèse et André : plus précisément, André Deru et Thérèse Gras, deux musiciens wallons participent pour la quatrième fois au festival. André fait partie depuis une vingtaine d’années du groupe « Salon Ambroisine ». Grand collectionneur de bûches et de cithares apparentées, il anime des stages d’apprentissage et de perfectionnement sur son instrument de prédilection. Il jouait aux côtés de Thérèse sur une épinette chromatique, un répertoire de musiques wallonnes traditionnelles et de compositions actuelles. Ce duo de musiciens belges, plein de délicatesse et d’harmonie, a ravi les oreilles.
– Simone et Léa : Simone Manens et Léa Perrin, deux musiciennes vosgiennes dans la plus pure tradition. Accueillant au son de l’épinette des Vosges depuis de nombreuses années les touristes, elles animent les marchés d’été au Girmont Val d’Ajol et sont régulièrement présentes lors d’animations au Val d’Ajol. Elles partagent avec le public leur passion pour ce petit instrument de musique traditionnel local.
– Les 2 musiciens de cette formation, Pierre Duval et Marie-Claude Besombes sont les fondateurs de l’association « L’épinette des Vosges » en 1998. Ils préservent cet instrument tant dans sa forme que dans sa pratique, et perpétuent cette tradition ininterrompue depuis plus de 260 ans. Ils ont interprété des airs de musique traditionnelle vosgienne mais aussi d’autres régions et d’autres pays, glanés lors de leurs nombreuses sorties en France et à l’étranger.
– Michel TERLINCK, venu de Flandre, est un musicien hors norme : depuis plus de 20 ans, il compose, créé des instruments, accorde les pianos, pratique le hommel et l’épinette des Vosges dans la plus pure tradition. Il construit notamment des cithares à bourdons, écrit de la musique et joue sur ses instruments ! Il est professeur dans la section folk à l’Académie de musique de Gooik en Belgique. Présent sur le festival pour la troisième fois, son toucher tout en délicatesse de l’instrument a captivé les spectateurs.
– Aurélien GUYOT ou AUREL. Fabricant d’épinettes des Vosges et membre du groupe de musiciens vosgiens « Les Kéot’Ribotte », Aurel est passionné de musique traditionnelle. Il joue du psaltérion, du banjo… Durant le festival, il a ainsi interprété plusieurs morceaux sur différents instruments entre chaque installation de groupe musical.
L’association a remercié les musiciens, ainsi que les communes et les bénévoles pour leur aide et leur soutien.
Le Festival International de l’Épinette des Vosges vous donne rendez-vous l’année prochaine !!
Durant 10 semaines, le marché d’été reprendra vie le vendredi soir au centre du Girmont Val d’Ajol, animé autour d’une thématique différente chaque semaine.
Ce marché a été créé en 1996 à l’initiative de l’équipe municipale dirigée par Jean-Marie Manens, alors Maire du village. Suite à un séjour de vacances dans les Alpes, celui-ci a découvert un marché du terroir en fin de journée, une animation qu’il a souhaitée reproduire dans son propre village.
Cela fait donc 26 ans que le marché s’installe au centre du village ! Il ne viendrait à l’idée de personne d’oublier de venir y faire un petit tour, rencontrer des amis, faire ses emplettes, assister aux animations, diner sur place et retourner chez soi, satisfait de sa soirée.
Découvrez les thèmes de chacun des marchés de cet été :
25 juin : Festival de l’Épinette et chants en patois
2 juillet : Aéromodélisme avec les fous volants
9 juillet : Les 2 roues [vélos, mobylettes & motos]
16 juillet : De la moisson au pain
23 juillet : Vieilles mécaniques, véhicules anciens
30 juillet : Le chello
6 août : Le bluet, les escargots, le miel et les plantes
13 août : La gastronomie autour de produits labellisés ‘Site remarquable du goût’
Marie-Louise Mougenot est décédée à son domicile à la Croisette, à l’âge de 91 ans. Née Richard, elle a vu le jour le 29 mars 1930 au Prébosson au Val-d’Ajol.
Elle a uni sa destinée à celle de M. Gérard Mougenot, le couple est venu s’installer dans la ferme familiale de La Croisette où la famille s’est agrandie avec la naissance de neuf enfants, seize petits-enfants et quatorze arrière-petits-enfants.
Après 40 ans de vie commune, Gérard est décédé en 1993.
Personne avenante et joviale, Loulou était appréciée de tout le hameau.
Ses obsèques ont eu lieu jeudi 24 juin en l’église du Val-d’Ajol.
Dernièrement, cette petite chapelle située au Motiron a été vandalisée par des personnes malintentionnées. Le tronc à offrandes a été forcé pour un maigre butin récolté.
Voici son histoire :
En 1860, Félicité Vincent, épouse de Nicolas Ougier, eut le coude broyé dans un accident. Le rebouteux Fleurot lui affirma que jamais elle ne pourrait se servir de son bras.
Son mari lui dit « Je connais quelqu’un qui pourra te guérir… ». Ils se mirent à prier ardemment St Pierre Fourrier, le bon père de Matttaincourt, pour lequel ils avaient une profonde dévotion et partaient souvent en pèlerinage.
Félicité guérit totalement et en 1870, les deux époux érigèrent une chapelle près de leur demeure, en reconnaissance au Saint. La porte est encore surmontée de la statue du bon père qu’ils firent sculpter ainsi qu’une autre de la Vierge Marie à l’intérieur de l’édifice.
Chapelle Mathiot ou chapelle du Moineau
Cette chapelle fut élevée en l’honneur des Saints Cœurs de Jésus et de Marie par la famille Mathiot-Leclerc, en ex-voto de reconnaissance.
La bénédiction eut lieu le jour même de la fête du Sacré-Cœur en 1921.
Elle a été rachetée par la commune du Val-d’Ajol, et rénovée avec des fonds municipaux.
Des bénévoles en assure l’entretien et l’ouverture tout au long de la belle saison.
Une ou deux messes en plein-air sont célébrées chaque année en été.
Chapelle de Faymont
Autrefois salle du patronage où l’on disait la messe les jours de grande fête, à Pâques et à la Toussaint par exemple, cette salle fut transformée en chapelle lors de la mission de 1937. La messe y fut célébrée plus fréquemment. Elle fut complètement rénovée et transformée en 1963 par une équipe de volontaires.
Un chemin de croix en fer forgé, dessiné par Monsieur l’Abbé Eschlimann, sorti des mains habiles des ouvriers de la Manufacture de Faymont, constitue un ornement remarquable.
A ce jour la chapelle appartient à la commune, M. Hervé De Buyer en a fait don pour l’Euro symbolique. Elle pourrait devenir une salle d’exposition et de spectacle.
Chapelle duTalhoux
Le mercredi 30 mars 1921, fut bénite solennellement la chapelle dédiée au Sacré-Cœur, élevée sur la colline du Talhoux par les soins de Monsieur Eugène Aizier.
Chapelle du Desseroux
La Chapelle du Desseroux fut autrefois très fréquentée, située dans un lieu sauvage en patois : instrument à « desserrer » ou lieu aride et désert.
Dans le milieu du siècle dernier, vivait là un pauvre infirme nommé Fresse, éclopé et « béquillard ». Il se résolut à prier pour sa guérison une statuette de la Vierge découverte par hasard et fixée à un sapin de la Racine.
Il guérit et l’on vint de toutes parts y prier.
Comme cette statuette était située dans une forêt appartenant à la paroisse de Corravillers, le curé de ce lieu voulut la rapporter solennellement dans son église. Fresse averti s’empressa de la cacher chez lui ; plus tard, il construisit à côté de sa maison une petite chapelle où l’on vint prier pour la guérison des enfants atteints de constipation en particulier.
La chapelle mesurait 2 mètres de long et autant de large, et 3 mètres de haut. Elle portait le millésime 1763 avec les initiales N.F.I.H.S.B.P.E.
La statue qui représentait la Vierge était en pierre et mesurait à peu près 40 centimètres de hauteur.
Il ne reste de cette chapelle que de pauvres vestiges ; la statue a été transportée au Girmont-Val-d’Ajol derrière l’église.
Renseignements tirés du fascicule « Miettes d’histoire » de 1983.
Mme le Maire a invité quelques représentants des associations patriotiques, les membres de la municipalité ainsi que l’Harmonie Jeanne d’Arc pour commémorer le 81ème anniversaire de l’appel du juin.
La traditionnelle gerbe de fleurs a été déposée en hommage aux disparus de ce conflit mondial, suivi de la minute de silence.
Après qu’Anne Girardin ait transmis le message de Mme la Ministre déléguée Geneviève Darrieusecq, chargée de la mémoire des anciens combattants, M. André Petitjean, président des anciens « AFN », a lu l’appel que le Général de Gaulle avait lancé à tous les Français.
Les électeurs du canton du Val-d’Ajol devront retourner aux urnes dimanche 27 juin.
Le premier tour a été marquée par une abstention record de 63,83 % pour le canton malgré le bon score du binôme Divers droites Véronique Marcot, vice-présidente sortante, Maire de Xertigny, et Thomas Vincent, 1er adjoint au Val-d’Ajol.
Celui-ci obtient en effet 64,51% des voix, un peu déçu par le manque de participation de ce canton habitué à se rendre aux urnes. Il affrontera au second tour le Rassemblement National Delphine Claudic et Sébastien Humbert qui ont fait un score de 26,45 % des voix.
Rassembler le geste de tri, la culture, le monde de l’entreprise et de l’économie circulaire dans près de 20 villes et villages vosgiens, c’est l’ambition du CONTENEURS TOUR 2021, un projet d’ampleur inédit autour du développement durable porté par le Sicovad.
Le « graffeur Ensa» Joffrey d’Olivéra a customisé un conteneur à verre ce mercredi 16 juin tout au long de la journée, devant les Ajolais, invités par l’équipe municipale à venir découvrir le parcours d’une bouteille de bière en verre, de sa fabrication à son recyclage.
Le grand public a pu ainsi savourer une animation artistique gratuite tout en étant informé des enjeux du tri et de la réalité de l’économie circulaire dans les Vosges. En effet, la bouteille en verre jetée dans un conteneur du SICOVAD ne part pas vers d’autres pays d’Asie… mais à quelques kilomètres d’ici, dans l’entreprise O-I de Gironcourt-sur-Vraine, qui la recyclera.
Le Sicovad informe que 6% du verre est encore déposé dans les sacs de déchets ménagers, des progrès de communication sont encore au programme de cette entreprise de ramassage et de tri de nos poubelles.
Le conteneur à verre customisé est en exposition sur le parvis de la Mairie jusqu’à lundi prochain, il sera déposé au point d’apport volontaire de la Chaume.
Vous vous souvenez de ces petits cailloux peints que l’on trouvait en se promenant dans le village, et bien, l’aventure continue ! On en trouve toujours, il suffit de chercher… les yeux rivés au sol, ou plus haut, à droite, à gauche…
Une chasse aux cailloux sera organisée le dimanche 11 juilletde 10h à 16h.
Ce phénomène, baptisé « LOVE ON THE ROCKS » par les Anglais qui l’ont initié, passionne toujours autant. En France, le groupe Facebook « LOVE ON THE ROCKS FRANCE », qui a maintenant le statut d’association, comptabilise énormément de membres. Chez nous, vous trouverez une des extensions de ce dernier : « LOVE ON THE ROCKS LORRAINE » qui compte 9 458 membres contre 6 898 en janvier.
Patricia, l’assistante maternelle, dont nous avions parlée dans notre précédent article sur ce sujet, est toujours aussi passionnée par ce concept qui ne s’essouffle pas, bien au contraire. C’est pourquoi elle a enfin décidé de nous organiser une immense chasse aux rocks dans notre belle commune. Les pierres peintes seront principalement déposées au centre. Les règles à respecter sont toujours les mêmes : ne rien coller sur les cailloux, utiliser uniquement de la peinture et du vernis, afin de ne pas polluer notre belle nature. Les cailloux qui seront découverts pourront être remplacés, gardés ou recachés. Ce qui se produit parfois même très loin puisque dernièrement quelques-uns sont partis en Turquie, en Hongrie et aux Pays-Bas !! Plus ils voyagent, plus les auteurs apprécient. Ils aiment avoir des nouvelles, alors n’hésitez pas à rejoindre le groupe Facebook “LOVE ON THE ROCKS LORRAINE” pour partager votre trouvaille !!
Patricia espère pouvoir créer d’autres activités avec ces / ses cailloux.
Cette fois, nous ne pourrons citer tous les ajolais concernés par ce mouvement, d’autant plus que beaucoup sont venus nous rejoindre depuis janvier. Cependant, Patricia tient à remercier toutes les personnes qui l’ont aidées dans l’organisation de sa chasse : Félix, les deux Aurélie, Eliane, Sabrina, Séverine, Yvonne, Maéva, Audrey, Isabelle… Veuillez nous excuser pour les éventuels oublis.
Un seul mot d’ordre : Tous à vos rocks et pinceaux pour cette chasse sur le territoire ajolais !
Barrer la route a pour but de garantir la sécurité des automobilistes mais surtout de déranger le moins possible les ouvriers et leur gros engins, afin de raccourcir au maximum cette période désagréable où l’accès à Faymont est ultra-limité. A Courupt, l’accès se fait par le Girmont ou le dessus de Courupt. Cela fait un détour pour atteindre le centre du Val-d’Ajol ou Remiremont, qui peut être éviter en passant en-dehors des heures de travaux. Merci de votre compréhension.
A compter du lundi 14 Juin jusqu’au vendredi 18 Juin 2021, la circulation des véhicules Poids Lourds de plus de 3.5 tonnes sera neutralisée sur la RD 23 dans le bourg de Faymont.
Mardi 15 et mercredi 16 juin 2021, la circulation de tous véhicules sera neutralisée entre les numéros 184 et 168 Faymont, c’est-à-dire entre l’entrée de Faymont en venant du Val d’Ajol jusqu’au carrefour entre la RD 23 et la RD83. – L’accès des riverains et véhicules de secours sera maintenu. – La RD23, à cet endroit, sera réouverte à la circulation des véhicules légers à compter de 17 h le soir jusqu’à 8h le lendemain matin.
A compter de mercredi 16 jusqu’au vendredi 18 Juin2021, la circulation de tous les véhicules sera neutralisée entre les numéros 168 et 90 Faymont, c’est-à-dire entre le carrefour entre la RD 23 et la RD 83 jusqu’à la fin de la première tranche de travaux. – L’accès des riverains et véhicules de secours sera maintenu. – La RD23, à cet endroit, sera réouverte à la circulation des véhicules légers à compter de 17h le soir jusqu’à 8h le lendemain matin.
Afin de dévier les véhicules Poids Lourds, une signalisation sera mise en place, entretenue par le Département des Vosges sur la RD 23 depuis Remiremont et dans le centre bourg du Val-d’Ajol. De plus, la signalisation nécessaire, précisant l’interdiction de circuler pour tous les véhicules à 400 m au niveau du rond-point à l’entrée de Faymont en provenance de Remiremont avec rappel après l’entrée de l’entreprise De Buyer, sera mise en place, entretenue et surveillée par l’entreprise Peduzzi en charge des travaux.
Une déviation des véhicules légers par la route des Aubeux, via la route des Breules, sera mise en place, entretenue et surveillée par l’entreprise Peduzzi qui réalise les travaux pour le compte de GRDF.
La conseillère départementale sortante veut poursuivre ! Elle se tourne vers l’avenir avec Thomas Vincent, 34 ans, premier adjoint au maire du Val d’Ajol et dirigeant d’une entreprise de construction. Leurs remplaçants, Coralie Hurel-Mathieu, 44 ans, est cinquième adjointe au maire de Hadol et André Boban, 73 ans, remplaçant sortant de Fontenoy-le Château.
« Philippe Faivre était sortant mais je n’imaginais pas ne pas poursuivre », confie Véronique Marcot, 59 ans, maire de Xertigny et vice-présidente de l’Agglomération d’Épinal chargée des finances et du développement économique social et solidaire.
Un nouveau venu
Thomas Vincent s’est alors fait connaître : « En entrant au conseil municipal, j’ai pris conscience que plein de structures gravitaient et interféraient avec la commune, le département, la région, l’intercommunalité… et j’ai souhaité m’y impliquer. Je suis sûr que ça sera très enrichissant au niveau intellectuel et humain ».
Le télétravail a changé la donne
Véronique Marcot voulait une équipe représentative d’un maillage équilibré du canton fort de près de 20.000 habitants pour 21 communes, capable d’apporter un nouveau regard sur ce territoire que les gens ne voient plus de la même façon depuis l’adoption du télétravail. Les gens privilégient le bien vivre et l’apport de la nature que ce soit pour les vacances ou pour le quotidien.
Le plus de producteurs locaux
« Il faut que les vacanciers viennent chez nous découvrir toutes nos richesses au lieu de fréquenter des sites saturés » s’enthousiasme Véronique Marcot. « D’autant plus que la Vôge est le territoire où il y a le plus de producteurs locaux ». La gastronomie et le manger sain ont leur place dans les plaisirs du quotidien, particulièrement après une crise sanitaire !
De la présence sur le terrain
Coralie Hurel-Mathieu voit son rôle comme une présence de terrain à l’écoute des populations pour remonter les informations et mieux répondre aux attentes. Quant à André Boban, qui est l’ancien maire de Fontenoy-le-Château : « J’ai quitté le canton pendant 40 ans et j’y suis revenu, c’est dire l’attrait qu’il exerce sur moi ».
Un quatuor « Divers droite » qui a de l’ambition pour le département : « Il y a une carte à jouer, un véritable enjeu de développement durable, et même si le département a perdu la compétence économique, il peut agir à bien des niveaux dans des projets transversaux ». lls sont conscients qu’il y aura des défis à relever en sortie de crise, mais « pour être élus, il faut être passionnés, ça en vaut la chandelle ! ».
Nous avons le plaisir de vous annoncer la naissance de Marceau, fils de Nicolas JACQUOT, agriculteur, et de Keomanouth LUANGRATH, employée de commerce, qui résident à la ferme familiale à « Le Dessus de Courupt », lieu-dit du Val-d’Ajol.
Nicolas est le fils d’Isabelle, et petit-fils de Noël et Lucette GALMICHE, et de Ludovic JACQUOT.
Bienvenue à Marceau et félicitations aux parents, grands-parents et arrière-grands-parents.
La cérémonie de départ du sapeur-pompier Daniel LECOMTE s’est déroulée en comité restreint à la caserne de la commune, en présence de sa famille. Mr LECOMTE a rendu hommage à ses proches : c’est grâce à leur soutien et leurs sacrifices qu’il a pu être totalement disponible pour assurer sa mission durant les 36 années passées au service de la population.
Daniel est un enfant du pays, il a uni sa destinée à une Ajolaise et réside depuis sa naissance au Val-d’Ajol dont il connaît la complexité de territoire, cette vaste commune aux multiples hameaux et lieux-dits.
Le 1er janvier 1985, il s’engage comme pompier volontaire et gravit les échelons : sapeur 1ère classe en 1997, caporal en 1998, caporal-chef en 2001, sergent en 2014, sergent-chef en 2017 et enfin adjudant depuis novembre 2020.
Son engagement a été récompensé par plusieurs médailles : échelon Argent en 2004, Vermeil en 2009 et Or en 2014.
Il va intégrer l’équipe de soutien et la réserve départementale.
Félicitations et bon vent dans ses nouvelles fonctions.
Samedi après-midi, en Mairie de Gérardmer, l’adjointe à la culture, Anne CHWALISZEWSKI, a eu le plaisir d’unir par les liens du mariage Walter VILLEMIN, entrepreneur, et Morgane DZIUBEK, entrepreneur également, tous deux domiciliés à Archettes.
Walter est le fils d’Arnaud et de Marlène VILLEMIN demeurant dans notre commune
Les travaux ont commencé début mai pour une durée de 2 mois.
Mise aux normes du réseau d’assainissement et d’eau potable dont le montant et estimé à 384 096,50 € HT, subventionné à hauteur de 39 970 € HT et des fonds FSIL/France relance à hauteur de 153 638,60€ HT.
Travaux secteur Faymont- Courupt
Les travaux ont débuté en début d’année à la sortie « Des Chênes », au niveau de la Boucherie de Jean-Luc Husson actuellement.
A compter du lundi 31 mai jusqu’au mercredi 2 Juin 2021, la circulation sera interdite à tous les véhicules de 7h30 à 17h, sur le secteur Faymont-Courupt.
Les riverains du lieu-dit Courupt sont invités à prendre la direction du Girmont-Val-d’Ajol pour se rendre à Remiremont et par le Dessus de Courupt/Route de Rapaumont en direction de Le Val-d’Ajol.
La fibre
Les travaux se poursuivent par voie aérienne sur la route de Fougerolles, avec les raccordements dans les armoires de dérivation.
En ce dimanche de Pentecôte, le marché dominical a repris des couleurs et de la diversité.
Le Stand Solidaire est de nouveau présent et ce jusqu’à la fin de la saison, pour proposer aux clients le surplus de production des jardiniers amateurs de la commune et des environs. Le bénéfice est reversé à l’association du Secours Catholique pour venir en aide aux personnes dans le besoin.
Les JARDINS DE PAULETTE du Girmont-Val-d’Ajol ainsi qu’un horticulteur franc-comtois occupent une partie de la place avec leurs plants de légumes et de fleurs à repiquer.
Le stand du primeurs de Cornimont est toujours présent avec un choix de produits frais divers.
Il est impératif de réserver son poulet cuit à la broche avant de faire son marché. N’hésitez pas à vous arrêter à l’étalage de la CHEVRERIE DES MELINES et d’acheter un pot de miel du RUCHER DE COURUPT.
Par ce temps maussade, sur le stand du marchand de chaussures, les nu-pieds sont restés dans les boîtes au profit des mocassins encore sur l’étalage.
Les débardeurs et shorts n’ont pas montré leurs couleurs faute de soleil, et les rideaux, bobines de fil et autres merceries attendent les couturières pour le « couarôge » au coin du feu.
VOSGES SECRETES présenté par l’Office de Tourisme de la Porte des Vosges Méridionales propose un livret de jeux pour les enfants, Spécial Val d’Ajol, une parution qui précède un prochain livret de chasse aux trésors !
Les terrasses des bars sont prises d’assaut par les badauds, satisfaits de retrouver leurs amis devant un café croissant ou autres boissons.
Tous les commerces du village sont ouverts le dimanche matin pour satisfaire les résidents, touristes et gens de passage au Val d’Ajol, site remarquable du goût grâce à la célèbre « Andouille du Val-d’Ajol » fabriquée par les cinq bouchers de la commune.
Le réparateur d’horloges anciennes rappelle à tout ce petit monde, content d’être en partie sorti de ce confinement, qu’il ne faut pas oublier les horaires du couvre-feu : 21 heures jusqu’au 19 juin puis 23 heures jusque fin juin.
Nous avons le plaisir de vous annoncer la naissance de Julia, fille de Fabrice CLAUDE, magasinier, et Laura HACQUART, secrétaire, demeurant à Olichamp, hameau du Val-d’Ajol.
A l’époque où « l’on n’avait pas encore inventé les microbes », il n’était question que de poisons, d’humeurs malignes, dont on se débarrassait à l’aide de purgations, de tisanes, et de saignées et de réactifs, dont quelques–uns constituaient un véritable supplice pour le malade.
Il y avait beaucoup moins de médecins qu’aujourd’hui, mais il y avait davantage de rebouteux, qui ne se contentaient pas de remettre plus ou moins bien en place les articulations vagabondes.
Il y avait aussi les guérisseurs, les apothicaires et les curés détenteurs de recettes compliquées contre toutes les maladies.
Les hommes ne s’en portaient pas plus mal, et les microbes, heureux parce qu’ignorés, se montraient à leur égard, d’une extrême indulgence.
