Halloween fêté au Hariol

Les membres de l’association « Ô d’hariol » ont invité les enfants de la commune à venir passer un après-midi de divertissement près de la chapelle.

Halloween était le thème choisi de circonstance. Les enfants sont venus déguisés en vampire, en fée Carabosse, en diable rouge, ou costumés pour faire peur au chat noir, dans un coin sombre de rue mal éclairée.

Après la chasse au trésor, les enfants ont dégusté les pâtisseries préparées par les dames sorcières du moment, des préparations « croc bonnes » accompagnées d’un sirop à base d’oranges sanguines…

Pour cette première animation organisée par l’association, le soleil était aussi de la partie.

Le Père Noël sera l’invité des prochaines vacances au pied du sapin pour une distribution de friandises, ainsi que le père fouettard et sa baguette de noisetier pour les enfants moins sages…

En 2022, d’autres animations seront organisées en vue des collecter des fonds pour rénover la chapelle qui a souffert des outrages du temps. Jean-Paul Romary, le président de l’association, compte à long terme faire revivre le bâtiment, mais ces travaux de rénovation sont à réaliser, avec l’aide de subventions, de donations, et de petites mains travailleuses.

Projets pour 2022

  • Randonnée de printemps sous les arbres en fleur
  • Concert en plein-air

Vous souhaitez apporter votre aide à cette association ? Contact : 06 49 59 65 13

Naissance

Nous avons le plaisir d’apprendre la naissance de Nathan, fils de Patrick BALLET, directeur des services techniques, et de Cécile COURTAUX, préparatrice en pharmacie, demeurant avenue de la Gare au Val-d’Ajol.

Bienvenue à Nathan et félicitations aux parents.

Balade du goût : Les deux feuillées

Promenade gastronomique sur les sentiers du Val-d’Ajol.

La semaine du goût se termine par une balade sur les sentiers de la grande commune du Val-d’Ajol.

Le soleil étant au rendez-vous 350 adultes et une bonne centaine d’enfants ont parcouru les 9,5 Km pour un dénivelé de 251m.

Départ de la salle des fêtes pour les inscriptions et remise du plan de route à effectuer.

Premier arrêt à la feuillée nouvelle pour admirer le point de vue sur la vallée de la Combeauté, tout en dégustant la charcuterie locale, tranches andouilles du Val-d’Ajol et charcuteries.

L’association du « Pays du Chello » avait ouvert son Chello installé sur le site, Daniel Counot a renseigné les randonneurs de passage sur ce grenier à grains typique de notre région, mais qui a aussi son semblable dans les Alpes, avec un étage qu’ils appellent un « Mazot ».

Deuxième dégustation à la feuillée Dorothée.

Autre point de vue sur le Val-d’Ajol depuis l’esplanade de la feuillée Dorothée, quelques croix jalonnent le parcours.

146 croix de chemins sont disséminées sur le territoire Ajolais, certaines par dévotion, d’autres pour rappeler un évènement tragique ou heureux survenu dans les familles. Depuis quelques années la commune fait restaurer des croix ayant souffert des caprices météorologiques, et dégradations au fil du temps.

Après la dégustation de fromages fermiers, les randonneurs sont repartis par le chemin des morts pour rejoindre le point de départ, où la dernière dégustation de mignardises leur était offerte avec un jus de pommes artisanal ou une boisson chaude.

Le verre de l’amitié clôturait cette journée, avec la présence du député, Christophe Naegelen, Anne Girardin qui avait invité le Maire de Monthureux à la balade, pour lui faire découvrir notre vallée, Thomas Vincent conseiller départemental du canton, et les membres de la confrérie, le nouveau grand dépendeur Philippe Biette, excusait le président Gérard Vançon absent pour l’occasion, dans son discours de clôture.

La confrérie des Taste-Andouilles remercie toutes personnes qui ont participé au bon déroulement des manifestations de la semaine du goût 2021, et vous donne rendez-vous en 2022.

Certaines photos ont été prises en 2020, la balade du goût ayant été annulée, ma petite fille Éva, m’a accompagné pour cette randonnée bien agréable.

Les élèves ont participé à la Semaine du goût

Tout au long de la semaine, au collège et en écoles maternelles, les élèves ont participé à différents ateliers chez les artisans de bouche, dont la découverte des saveurs pour les plus petits.

Certaines classes se sont déplacées pour assister à la fabrication de l’andouille du Val-d’Ajol et d’autres spécialités chez les bouchers charcutiers.

Le collège a proposé aux élèves lors du déjeuner un menu spécial Semaine du Goût. L’occasion pour Caroline DIDIER, la principale de l’établissement, de convier les deux maires des communes concernées, Anne Girardin et Lydie Barbaux, et les représentants de la confrérie des Taste-Andouilles et du comité du site remarquable du goût du Val-d’Ajol.

Les élèves de la classe de Mme Mangin, à l’école primaire du centre, ont passé une après-midi sur le thème de la cuisine avec l’association le Passe-temps, dans une salle du bâtiment Les Épinettes. Ils ont préparé des pizzas au jambon avec l’aide des adhérentes, suivi d’un dessert : le hérisson aux poires, piqué d’amandes effilées et saupoudré de chocolat, qu’ils ont dégusté en fin d’animation dans la cour.

En matinée, une classe de maternelle s’est rendue à la boulangerie ajolaise « La Gourmandise », reçue par Bruno et Mireille THOMAS. Divisés en deux groupes, les élèves ont assisté à la fabrication du pain, pendant que d’autres préparaient des cookies, dégustés lors du goûter.

Une belle semaine du mieux et bien manger pour tous !

Naissance

Nous avons le plaisir d’apprendre la naissance de Joachim, fils de Marco AIELLO, directeur d’usine, et de Céline MOUROT, employée de bureau d’études, résidant les Charrières, lieu-dit du Val-d’Ajol.

Bienvenue à Joachim et félicitations aux parents.

Décès de Madame Thérèse LAMBERT

avis de décès

Thérèse LAMBERT, née Lemercier le 4 janvier 1936 au Petit-Fays sur la commune de Fougerolles, est décédée le 5 octobre à l’âge de 85 ans.

Elle a épousé Serge Lambert en 1959, le couple s’est installé aux Charrières, lieu-dit du Val-d’Ajol. Son mari est décédé en 2001.

Quatre enfants sont nés au foyer : Olivier, Sylvie, Virginie et Jannick. Puis, la famille s’est agrandie de neuf petits-enfants et trois arrières-petits-enfants. Thérèse a élevé sa petite famille. Bonne cuisinière, c’était une mamie gâteaux pour ses proches et les voisins qui appréciaient sa compagnie.

Ses obsèques ont été célébrées le 8 octobre, en l’église du Val-d’Ajol.

Nos condoléances.

Naissance

Nous avons le plaisir d’apprendre la naissance d’Élya, fille de Julien GUÉDON, auto-entrepreneur, et de Mélyssa HANTZ, esthéticienne, demeurant à Faymont, Le Val-d’Ajol.

Bienvenue à Élya et félicitations aux parents.

Naissance

Nous avons le plaisir apprendre la naissance de Maël, fils de Nicolas DUCHENE, opticien, et de Mathilde BRASSEUR, commerciale, résidant à Olichamp à Le Val-d’Ajol.

Bienvenue à Maël, et félicitations aux parents.

Décès de Monsieur Michel DESCHASEAUX

avis de décès

Issu d’une famille de sept enfants, M. Michel Deschaseaux est décédé le 28 septembre à son domicile, à l’âge de 93 ans.

Il est né le 25 septembre 1928 au Val-d’Ajol. En octobre 1952, il épouse Simone Petitjean et élit domicile rue des champs dans une maison qu’ils ne quitteront jamais. Cinq enfants sont nés de cette union : Danièle, Édith, Jean, Roger et Marc. Puis la famille s’est agrandie de onze petits-enfants et de dix-huit arrière-petits-enfants.

Michel a travaillé dans plusieurs entreprises du secteur, en tant que plâtrier, jusqu’à l’heure de la retraite.

Bricoleur et jardinier pendant ses heures de loisirs, fier de sa vie bien remplie et pleine de souvenirs.

Ses obsèques ont été célébrées le 30 septembre en l’église du Val-d’Ajol.

Nos condoléances.

Fleurissement de la ville

Bien que le fleurissement de la ville ait subi quelques dégâts lors de la tempête ce printemps, les plantes annuelles sont reparties après un petit lifting, quelques unes trop abimées ont été remplacées.

Les plantes vivaces plus résistantes ont moins souffert du cataclysme.

L’association Ôd’hariol est née

La chapelle du Hariol va connaitre une nouvelle destinée.

Cette chapelle devait à l’origine être une église et son hameau une commune… Je vous laisse découvrir l’histoire un peu plus loin, extraite du livre « Miettes d’histoire », édité en 1983 à l’occasion du tricentenaire de l’église du Val-d’Ajol.

Une réunion vient d’avoir lieu sur le site à laquelle 35 personnes ont participé, tout simplement les habitants du Hariol qui souhaitent voir revivre ce bâtiment. Ils ont décidé de poursuivre la mission de l’association baptisée lors de sa création le 22 décembre 1928 « Association de l’éducation morale de la jeunesse du Hariol » et ont ainsi procédé au renouvellement de ses membres. Présidente de cette entité depuis 2010, Simone Paris a exprimé sa volonté de passer la main. Les nouveaux membres élus de l’association rebaptisée Ôd’hariol sont :

  • Président : Jean-Paul Romary
  • Vice-présidente : Lucie Couval 
  • Trésoriers : Pascal Claude et Maryline Couval 
  • Secrétaires : Sylvie Romary et Mélissa Orbinot 
  • Membres du bureau : Pierre Duval, Claude Henry et Marianne Mathieu

Graziella Gérard, adjointe à la communication, et Thomas Vincent, adjoint aux travaux, les épauleront dans leurs projets.

Les travaux débuteront par la réfection de la toiture et du sol et les demandes préliminaires de subventions auprès d’organismes divers, de sponsors, etc…

Si vous souhaitez adhérer à l’association : 06 49 59 65 13

Un brin d’histoire

Autrefois, les habitants du Hariol étaient obligés de parcourir une distance bien plus grande pour venir à Laître que pour aller à Plombières, c’est pourquoi ils étaient présents habituellement aux offices de Plombières.

Quand en 1734-1735, on reconstruisit le clocher du Val d’Ajol (tel qu’il est aujourd’hui), on imposa des corvées à toute la communauté. Chaque section dut fournir un certain nombre de voitures et de journées de travail. Les paroissiens du Hariol n’acceptèrent ces obligations qu’en partie et de mauvais gré.

L’idée de bâtir une église bien à eux s’enracina petit à petit, surtout après l’inauguration le 15 août 1860 de l’église de Plombières, érigée sous le règne de Napoléon III.

Ce qui mit le feu aux poutres fut une simple question de chemin. En 1865, le conseil municipal ajolais donna l’autorisation de déplacer un chemin rural à l’acquéreur d’une ferme située au Hariol, cela malgré l’opposition des voisins. Les habitants de cette section prirent alors la décision de « bâtir une église et de nous ériger en commune, au moins nous serons libres et maîtres chez nous ».

M. Rosaye, curé du Val-d’Ajol, ne vit pas de très bon œil cette scission dont il en référa à Mgr Caverot, évêque de Saint Dié, qui lui, fut tout à fait d’accord avec les gens du Hariol.

1er janvier 1866 : Élection d’une commission en charge de gérer activement l’affaire. Une première souscription est ouverte.

On était d’accord pour construire. Mais quand il fallut désigner l’emplacement, ce fut une nouvelle source de désaccord, chacun voulait avoir l’église près de sa ferme. Trois endroits furent proposés. On eut recours au vote secret.

Une deuxième souscription fut ouverte quand les fondations furent creusées, mais elle fut loin d’être suffisante.

Le conseil municipal du Val-d’Ajol, sollicité par les habitants du Hariol pour obtenir une subvention de 12.000 Francs, leur refusa son aide en raison de la mauvaise situation financière de la commune, mais il permit l’extraction de moellons et de sable sur son territoire, entre autres dans la forêt du Layol le 7 décembre 1866.

D’autre part, l’abbé Nicolle, riche et très généreux, en résidence à Épinal, remit de fortes sommes pour participer à cette construction.

1867 : Les murs s’élèvent (pas de bénédiction religieuse). Mgr Caverot vient visiter les travaux fin mai, il félicite les habitants mais fait remarquer que l’église est un peu petite.

Bientôt la discorde régna. La commission n’était qu’un prête nom, les « boute-en-train » de l’œuvre agissaient en son nom et ne consultaient que rarement. Les membres froissés par ces procédés se retirèrent peu à peu.

Fin septembre, la toiture en ardoise est commandée, les murs terminés. Une nouvelle pétition est adressée à la municipalité du Val-d’Ajol, sollicitant un secours en nature : 150 stères de bois de charpente, qui lui fut accordé.

1868 : Une députation est envoyée à Napoléon III séjournant alors à Plombières. Elle ne reçoit qu’un ….sourire protecteur !

1869 : Reprise des travaux. Les habitants du Hariol demandent à la commune une école et 40 000 Francs pour achever la construction de l’église. Le Conseil accorde l’école mais pas la subvention.

1873 : Le comité lance un ultime appel, en vain. Le Maire du Val-d’Ajol propose une réunion des souscripteurs à l’église même du Hariol le dimanche 14 septembre 1873 afin de connaître leurs intentions, statuer sur les décisions à prendre pour mener à bien l’œuvre commencée, la construction de l’église et de la cure, tout en établissant dans les règles la nouvelle commune et paroisse du Hariol.

La réunion a lieu, mais se termine par de violents échanges verbaux : ce fut le coup fatal qui mit fin à l’entreprise.

1902 : Reprise du projet

L’église est enfin édifiée à l’emplacement choisi initialement, mais avec de plus modestes dimensions. Elle fut bénite au mois d’août 1924.

Cuisines en fête édition 2021

Installée sur la place du monument avec le marché dominical, la manifestation, organisée par la Confrérie des Taste-Andouilles et Gandoyaux du Val-d’Ajol et le concours des services techniques de la ville, a tenu ses promesses, malgré la pluie trouble-fête en matinée.

Trois grands chefs locaux se sont succédés pour préparer une de leurs recettes devant un public gourmand et avides de conseils :

  • Cédric Bongeot de l’hôtel-restaurant La Résidence a proposé un gravlax de truites à la betterave, gel granny Smith, wasabi et pickles d’oignons rouges.
  • Laurent Grandgirard de l’auberge de La Vigotte, une soupe de pain brûlé et andouille du Val-d’Ajol et son siphon au lard.
  • Cédric Karcher, chef du restaurant La Cocotte, sa caille farcie à l’andouille sur pain perdu.

Le public a pu déguster quelques produits du terroir : les beignets aux pommes des patoisants des trois rivières, l’andouille du Val-d’Ajol sur canapé proposée par la confrérie, ainsi que la soupe au lard de nos grands-mères, préparée comme chaque année par Michel Sutter aidé de ses acolytes de l’association des écoles publiques.

D’autres spécialités étaient proposées à la vente pour être dégustées à la maison : fromages de vache, de chèvre ou de brebis, viennoiseries, andouilles et viandes fumées, Kirsch de Fougerolles AOC et autres apéritifs du cru, miels et pains d’épice, glace maison, etc…

Nouveauté cette année : une restauration à la carte composée de plats proposés par les producteurs exposants et issus des démonstrations culinaires des chefs présents.

En après-midi, les démonstrations de fabrication du pain par le Fournil Ajolais et de l’andouille du Val-d’Ajol par le Fumoir Vosgien ont attiré un public nombreux, intéressé par les savoir-faire locaux.

77ème anniversaire de la libération du Val-d’Ajol

Le samedi 18 septembre, Mme le Maire du Val-d’Ajol a rendu hommage dans son discours aux goumiers, ces soldats des troupes coloniales d’Afrique du Nord qui ont participé aux combats en Moselle et dans les hautes-Vosges entre 1942 et 1945.

Étaient présents M. le Consul général du Royaume du Maroc, venu de Strasbourg, M. le sénateur Jean Hingray, M. le Conseiller départemental Thomas Vincent, ainsi que les représentants des associations patriotiques, le conseil municipal, entourés d’Ajolais.

Mme le Maire a rappelé un passage de notre histoire durant lequel Le Val-d’Ajol a servi de base de repos aux goumiers marocains. Les goumiers, non habitués à nos températures hivernales, souffrirent du froid durant près de trois mois passés dans les Vosges. Certains furent accueillis chez l’habitant. Le Général de Lattre de Tassigny avait d’ailleurs surnommé le Val-d’Ajol « le petit Maroc ».

Après la cérémonie, le film « le petit Maroc » a été projeté à la salle des Fêtes, réalisé par M. Anthony Rescigno, réalisateur de documentaires sur la Seconde Guerre mondiale, avec la participation de Bruno, petit-fils de M. Jules Besozzi. Il s’est intéressé au passé de son grand-père, maquisard durant cette guerre au « maquis du Peutet », sous les ordres de Léo Durupt, photographe et organisateur de la résistance sur le secteur. Les élèves du collège Fleurot d’Hérival ainsi que ceux du collège de Plombières ont également participé à la réalisation de ce film qui retrace l’histoire de ces soldats marocains venus combattre l’ennemi dans les hautes-Vosges.

Marianne Durupt avait à l’époque 8 ans : elle se souvient des grands gaillards que son père photographia et de leur uniforme composé d’une djellaba à capuche et du poignard traditionnel porté à la ceinture.

M. Driss El Kaissi, Consul général du royaume du Maroc, présent lors de la diffusion de ce film, a évoqué les projets qui pourraient naître de cette rencontre : baptiser une rue ajolaise en souvenir des goumiers et fonder un comité de jumelage avec une des villes marocaines natales de ces soldats.

Naissance

Nous avons appris la naissance de Lucie, fille de Jérémie PETITJEAN, salarié, et de Clémence HUMBERT, infirmière libérale, résidant route de Rapaumont au Vald’Ajol.

Bienvenue à Lucie et félicitations aux parents.

Naissance

Nous avons le plaisir de vous annoncer la naissance de Faustine. Les heureux parents sont Thomas CHARBONNIER, secrétaire général de Mairie, et Sarah LAINE, pharmacienne, résidant à la Grange Jacques au Val-d’Ajol.

Bienvenue à Faustine et félicitations à toute la famille.

Décès de Mme Ginette HOUILLON

avis de décès

Ginette Houillon, née Martel le 16 juin 1939, était originaire du Mans. Elle est décédée le 10 septembre à son domicile rue du Dévau.

Ginette a connu Michel lors de sa scolarité à Luxeuil les Bains ; ils se sont mariés le 28 novembre 1959 au Val-d’Ajol. Le couple a eu deux filles Sylvie et Josée. La famille s’est agrandie avec la venue de quatre petites filles, Émilie, Audrey, Justine et Julianne, puis de deux arrières-petits-enfants, Baptiste et Valentine.

Tout en élevant ses filles, elle fut assistante maternelle jusqu’en 1980, puis concierge aux Ets DE BUYER à Faymont jusqu’à l’âge de la retraite.

Elle aimait les voyages et les sorties avec l’amicale des sapeurs pompiers, dont son mari était membre en tant que pompier volontaire.

Elle était membre bénévole de l’association Alzheimer.

Ses obsèques ont été célébrées le mercredi 15 septembre en l’église du Val-d’Ajol.

Récompensé pour ses 31 années au service des Ajolais

Elu pour la première fois en 1989 au sein du conseil municipal, Lucien ROMARY a passé 31 années au service des Ajolais. Un engagement récompensé le dimanche 29 août dernier par une cérémonie organisée en son honneur à la Salle des fêtes ajolaise en présence de Daniel GREMILLET, Sénateur et Conseiller Régional, Philippe FAIVRE, Conseiller Départemental honoraire et Maire honoraire, Thomas VINCENT, Conseiller Départemental du canton et 1er adjoint au conseil municipal du Val-d’Ajol, Claude DURUPT, Curé de la paroisse, Frédéric MATHIOT, neveu de Lucien et conseiller municipal, Anne GIRARDIN, Maire de la commune, sa famille, ses amis et anciens colistiers du conseil municipal et du syndicat des agriculteurs.

Lucien a vu le jour en 1938 dans la ferme familiale située route de la Palécôte sur les hauteurs du Val d’Ajol, non loin de la borne qui marque la frontière administrative avec la grande région Bourgogne Franche-Comté. Une ferme qu’il n’a jamais quittée puisque c’est au même endroit qu’il a exercé son métier de paysan, aux côtés de son épouse, Michelle.

Après avoir retracé son parcours – marqué de sa présence durant 3 mandats au sein de son équipe lorsqu’il fut maire du Val d’Ajol puis de 2 autres mandats dans celle de Jean RICHARD – , Philippe FAIVRE lui a remis la médaille d’honneur régionale, départementale et communale, échelon vermeil.

C’est ensuite Daniel GREMILLET qui lui a décerné la médaille du Sénat, gravée de son nom en remerciement de son implication au sein du Syndicat des agriculteurs des Vosges.

Lucien a enfin reçu des mains de Mme le Maire la médaille de la ville du Val-d’Ajol pour son dévouement au sein de la commune.

Ses anciens colistiers et amis lui ont préparé une belle surprise, un cadeau constitué d’un saut en parachute remis par Frédéric MATHIOT.

Son épouse Michelle et sa sœur Odile (à laquelle il avait succédé en 1989) ont été gratifiées d’un superbe bouquet de fleurs offert par la municipalité.

Un sujet particulier est devenu le cheval de bataille de Lucien ces dernières années : le problème de l’absence d’un réseau d’eau communal sur le secteur de la Chaume. Ses habitants ne sont en effet pas desservis par le réseau communal, ce qui pose problème en été, particulièrement chez les exploitants agricoles qui ne peuvent assurer le bon fonctionnement de leur ferme. Après de bien nombreuses péripéties, le projet d’un raccordement futur se dessine. Une source a été achetée, les études géologiques réalisées sont concluantes. La balle est maintenant dans le camp de la nouvelle équipe municipale.

Après toutes ces éloges amplement méritées, le verre de l’amitié a clôturé cette agréable cérémonie.

Marche Rayon de Soleil

Le succès est toujours au rendez-vous pour la marche organisée chaque année par l’association « Rayon de Soleil ».

129 randonneurs (confirmés ou amateurs) se sont inscrits au départ à la résidence Val de Joye. Le parcours de 9 km les a conduit sur les hauteurs de Val-d’Ajol, au point culminant du Château de Bellevue (pas de château en vue mais un joli point de vue).

A la fin de la descente vers Larrière, un pointage a été effectué, suivi d’une petite collation proposée par les bénévoles de l’association. L’itinéraire s’est poursuivi en direction du Champs de Fougerolles, lieu-dit situé sur la commune voisine de Fougerolles, avant le retour au point de départ. Ce fut une marche vivifiante et instructive toute à la fois.

Croix, anciennes fermes, chellos et lavoirs jalonnent le parcours tracé et balisé par Michel et les 2 Gilles. Un balisage enlevé par Annette et quelques membres des randonneurs de Rando Découverte le lendemain.

En fin de journée, les marcheurs ont pu se restaurer et faire quelques emplettes sur les stands installés par Jean-François : les réalisations des résidents étaient en effet proposées à la vente, des objets confectionnés tout au long de l’année avec l’aide des bénévoles. La recette réalisée permettra de financer des sorties ponctuelles et des séjours extérieurs avec les résidents.

La présidente, Bernadette DURUPT, remercie toutes les personnes qui ont apporté leur aide et participé au succès de cette journée.

Les paniers de l’été du mois d’août

L’UCAV remercie les commerçants qui ont participé à l’opération « Les paniers de l’été » et félicite tous les gagnants.

  • Vendredi 6 août, tirage à l’Auberge St Vallier : Mme FAIVRE Marie-Paule du Val-d’Ajol 
  • Dimanche 8 août, tirage au Fumoir Vosgien : M. BAUMONT Sébastien du Val-d’Ajol
  • Dimanche 15 août, tirage à la boucherie de Jean-Luc Husson : M. ROUHIER Valentin de Fontaine-les-Luxeuil
  • Vendredi 20 août, tirage au restaurant de La Vigotte : Mme DUVAL Lucette du Val-d’Ajol
  • Dimanche 22 août, tirage à Marché U : M. RAMPACHER Frédéric de Luxeuil
  • Dimanche 22 août, tirage à Intermarché : Mme GRANDGUILLAUME Anne-Marie du Val-d’Ajol 
  • Dimanche 29 août, tirage au Fournil ajolais : Le panier de 500 € a été gagné par M. COLLE David du Val-d’Ajol.

Prochain rendez-vous : en 2022 !

Vers une remise en eau espérée

L’étang d’Avaux est situé à La Chaume, au croisement de routes allant vers Saint-Bresson et Outremont. Ainsi appelé car voici quelques décennies, plusieurs étangs existaient à cet endroit dont quelques vestiges en témoignent encore.

Une délégation du Conseil Départemental des Vosges et du Conservatoire des Espaces Naturels s’est déplacée pour envisager la remise en eau d’une partie de l’ancien plan d’eau.

Les élus et les riverains présents ont pu (re) découvrir un écosystème complexe et fragile sur ce site de 2ha42, reconnu pour sa valeur naturelle et inscrit depuis 1995 à l’inventaire des Espaces Naturels Sensibles (ENS) du département des Vosges.

Asséché il y a plus de 10 ans en raison de la présence de poissons chats indésirables, l’étang pourrait donc être remis en eau sur une partie pour préserver la tourbière et protéger ce patrimoine. Cela constituerait également une réserve d’eau en cas d’incendie, sur ce secteur de la commune non alimenté par le réseau communal.

Cette visite marque le début de la reprise des réflexions et des actions par l’ensemble des parties prenantes sur ce site qui mérite d’être valorisé et préservé.

Chemin de fer du Val-d’Ajol : inauguration

Sur le journal « Mémorial des Vosges » daté du 8 juin 1881 en page 2 :

Officiellement la ligne qui, depuis 2 jours, dessert la vallée de la Combeauté, s’appelle le chemin de fer d’Aillevillers à Faymont ; mais pour tout le monde, pour nous surtout dans les Vosges qui savons ce que nos amis ont fait pour en obtenir la construction, c’est le chemin de fer du Val-d’Ajol. Qu’après avoir triomphé au prix de tant de peines, de tant de démarches, de sacrifices de temps et d’argent, nos chers amis du Val-d’Ajol aient voulu célébrer leur victoire par une fête éclatante, c’est de quoi personne ne sera surpris et j’ajoute qu’il n’y a que ceux qui ne les connaissent pas qui puissent être étonnés du succès de leur fête.

C’est un pays d’ailleurs, qui pousse aux fêtes, que cette vallée de la Combeauté, d’Hérival à Fougerolles dont le Val-d’Ajol est le point central. On n’en peut imaginer un plus aimable, un plus harmonieux pour la vue ; quand le soleil s’en mêle, le décor est féerique et il est impossible de résister à l’impression de joie qui se répand et vous enveloppe.

Les deux communes du Val-d’Ajol et de Fougerolles (Haute-Saône) s’étaient donc entendues pour célébrer d’une manière brillante l’inauguration du nouveau chemin de fer ; mais le Val-d’Ajol avait la grosse part. Il avait fait venir la musique du 35e de ligne en garnison à Belfort, musique dirigée par M. Hauser, et l’une des meilleures de l’armée ; le banquet avait été préparé par les soins de M. Hennequin de Luxeuil, dans la gare des marchandises du Val-d’Ajol. La commune était pavoisée : des mats, surmontés d’oriflammes, jalonnaient la route de la gare à la mairie ; au clocher même de l’église, un hardi compère était allé accrocher un drapeau ; l’hôtel de ville était décoré avec goût ; un habitant de Faymont, qui ne s’en tire pas mal, avait peint toute une décoration simulant  les statues du Progrès, de l’Agriculture et de l’Industrie, etc. Enfin, un feu d’artifice avait été installé sur la colline des Feuillées. Nous ne parlons pas du menu fretin des plaisirs, mats de cocagne, baraques, bals publics, etc.

Il s’en est fallu de peu que tous ces préparatifs ne fussent perdus et que la fête ne tournât en catastrophe. Samedi, un orage éclatât ; la foudre mit le feu à quatre maisons du village et dévorât 7 ménages d’ouvriers. Les musiciens du 35e qui venaient d’arriver se préparaient à donner un concert ; au cri « au feu ! », ils laissent là leurs instruments et courent se joindre aux pompiers. Grâce aux efforts de tous, on put arrêter les progrès du fléau. Mais quelle triste impression ! Il n’y avait qu’un moyen de ramener un peu d’entrain : c’était de faire tourner la fête au profit des victimes du sinistre. C’est à quoi chacun travailla. Et l’on réussi assez bien  puisque dans la soirée du samedi et la journée du dimanche, on réunit plus de 800 Francs.

Dimanche donc la fête put avoir lieu. Le train d’honneur parti d’Aillevillers à neuf heures et demie s’arrêta à Fougerolles. Le maire de Fougerolles, M. Nicolas, attendait les invités sur le quai de la gare pour leur offrir le vin d’honneur. M. le sénateur Claude, M. Boegner, préfet des Vosges, M. Michel, M. Périvier, son secrétaire général, et M. Topin, sous-préfet de Lure, descendirent du train. Après avoir répondu aux paroles d’accueil qui lui avaient été adressées par M. Nicolas, le préfet des la Haute-Saône expliqua que par suite du retard du train de Paris, messieurs les députés du département ne pourraient arriver qu’à deux heures. Au milieu des détonations des boîtes et des pétards, le cortège se rendit dans la gare des marchandises, élégamment ornée pour boire le vin d’honneur.

Mais il faut repartir : on regagne le train, le sifflet de la locomotive résonne et les échos surpris des montagnes répètent ce bruit inaccoutumé. Le train s’ébranle ; les champs, les bois, les coteaux verdoyants fuient derrière nous. Au dessus des arbres, dans la plaine, voici le clocher du Val-d’Ajol. Nous arrivons. Foule sur le quai ; foule le long des barrières ; on crie, on applaudit. La musique du 35e joue ; le sympathique maire du Val-d’Ajol, M. Collin, reçoit ses invités, on se serre la main et l’on prend la route de l’hôtel-de-Ville , précédés des musiciens du 35e qui filent au soleil, dans une poussière lumineuse.

À midi, le banquet. Je vous fais grâce du menu. Il suffit de savoir qu’il était bien composé, que le vin était bon. Il y avait 200 couverts. Parmi les personnes présentes se trouvaient les ingénieurs de la Compagnie de l’Est, les maires des environs, M. Liétard, M. Vial, d’autres dont le nom m’échappe, M. Labarte sous-préfet de Remiremont, le juge de paix de Plombières, M. Charles Pottecher et son aimable suppléant, le docteur Daviller, M. Denis du Progrès, M. Georgeot de l’Industriel, etc, etc. Si le repas fut gai, cordial, est-il besoin de le dire ?

À deux heures, les retardataires firent leur entrée ; c’étaient M. Marquiset, député de Lure, MM. Baïhaut, Hérisson et Versigny, députés de la Haute-Saône, il ne manquait que M. Noirot, mais il était remplacé par Dyonis Ordinaire, ancien rédacteur en chef de la Petite République française. Cet homme de tant d’esprit et de gaieté se souviendra du Val-d’Ajol ; mais, de leur côté, les Val-d’Ajolais ne l’oublieront pas.

Au dessert, il y eut des toasts, beaucoup de toasts ; la place nous manque pour les reproduire tous. On trouvera plus loin celui de M. le préfet des Vosges, à qui la présidence du banquet avait été offerte. M. Collin, maire du Val-d’Ajol, prit ensuite la parole pour remercier les invités et rappeler les services rendus à la commune, par les présents et par les absents. MM. Georges et Méline eurent leur part, comme on pense. M. Michel, préfet de la Haute-Saône, en quelques mots heureusement trouvés, tourna un compliment aimable au charmant pays dont il était l’hôte. Puis M. Marquiset. Il a parlé comme d’une chose sûre du raccordement du nouveau chemin de fer avec Remiremont ; il en a parlé comme d’une chose si évidente, que tout le monde fut convaincu et salua les paroles de l’honorable député de la Haute-Saône d’une longue salve d’applaudissements.

M. Dyonis Ordinaire, bavard comme un homme qui a mille choses à dire se livra à une causerie, – c’est le terme employé par mon confrère du Progrès, et je le trouve juste, – à une causerie pleine de traits, de mots, il y mêla quelques notes plus élevées qui impressionnèrent vivement l’auditoire. Il paraît qu’on avait dit à ce bon M. Ordinaire qu’on était peu républicain dans le pays ; il croyait par ces bavardages, et, comme il le dit aux gens du Val-d’Ajol : « pourquoi donc ne seriez-vous pas républicains ? vous n’êtes pas plus bêtes qu’ailleurs ». Il sait aujourd’hui qu’on est pas bête du tout au Val-d’Ajol, car on y est très républicain. Je ne sais pas pourquoi, en finissant d’écrire la phrase qui précède, le nom de M. Louis Remy est venu sous ma plume. Ce n’est pas parce qu’il est républicain, en tout cas le digne conseiller général du canton. Serait-ce parce qu’il n’était pas présent au banquet ? Enfin, passons ; s’il plait à ce personnage de bouder la joie de ses compatriotes, cela ne nous regarde pas.

Reprenons le cours des toasts. Après M. Ordinaire, M. Claude (des Vosges) prononce quelques excellentes paroles à l’adresse des ingénieurs de la Compagnie de l’Est. Puis M. Édouard Georges, adjoint au Val-d’Ajol donne lecture d’une lettre de M. Méline qui s’excuse de n’avoir pu, à son grand regret, assister au banquet ; il est retenu à Bucarest, par de graves intérêts. Cependant, il avait pris ses mesures pour être revenu à temps ; mais des circonstances imprévues ont fait  échouer toutes ses combinaisons. Après la lecture de la lettre de M. Méline, adressée à M. le Maire du Val-d’Ajol, M. Édouard ajoute que la place du député de Remiremont était marquée dans une fête dont l’agriculture et l’industrie sont en quelques sortes les héroïnes. « Buvons donc à la santé de M. Méline », dit-il en terminant ; « que nos vivats et nos acclamations arrivent jusqu’à lui – qu’ils lui soient un encouragement pour défendre avec énergie les intérêts français dans les nouveaux traités de commerce qu’on négocie en ce moment. Les Anglais ont déjà réussi à pouvoir ouvrir les négociations à Londres, néanmoins nous espérons que nos négociateurs sauront garder leur indépendance. Et si cela n’était pas, M. Méline travaillerait, nous l’espérons, à faire échouer un traité qui n’avantagerait que les Anglais égoïstes…. et fraudeurs. – de même qu’il fit déjà tomber en 1878 le traité de commerce conclu en 1877 avec l’ingrate…. Italie. »

Après M . Georges, nouveau toast de M. Collin à l’armée, à la musique du 35e et aux organisateurs de la fête ; réponse de M. Hérisé qui a, pour sa part, contribué à l’œuvre dont on célèbre la réussite et qui renvoie à MM. Colin, Eugène Fleurot et Georges les éloges qu’il a reçus.

Enfin, on se sépare. Les autorités, les députés de la Haute-Saône reprennent le train, car on les attend à Fougerolles. Les autres convives se rendent sur la place où la musique du 35e donne un concert. Son chef, M. Hauser, est l’un des membres du jury qui doit se réunir à Épinal le 19 ; il est digne à tous égards d’en faire partie. Car malgré les difficultés sans cesse renouvelées du recrutement, il a formé une musique excellente, instrumentale et vocale. En effet les musiciens du 35e chantent des chœurs avec une rare perfection et nous avons eu le plaisir de les entendre lundi, lorsqu’avant de partir ils se sont rendus tour à tour à la porte du maire et des adjoints pour les saluer, et remercier la population du Val-d’Ajol, de l’accueil si chaleureux qu’on leur a fait.

Le reste de la fête, bal, feu d’artifice s’est passé dans le plus grand ordre et avec un réel entrain. La fête de l’inauguration du chemin de fer du Val-d’Ajol laissera des traces profondes dans le pays.

                                                                                              E. S.

Décès de Mme Jeanne SIMONIN

avis de décès

Jeanne ANTOINE, plus connue sous le surnom de « Nénette », est née à la ferme familiale de ses parents aux Granges de Plombières, où elle a vécu en participant aux travaux sur l’exploitation jusqu’à son mariage.

Elle est décédée le 22 août 2021 après une courte hospitalisation à Épinal.

Elle épousa en 1953 Henri SIMONIN, qui exerçait la profession de chauffeur routier. Il est décédé le 26 octobre 1976 suite à un accident de la circulation.

La famille s’est agrandie de deux enfants : Claude décédé en 2016 et Jean-Luc. Suivront 8 petits-enfants : Jennifer, Cindy, Sabrina, Hervé, Lionel, Coralie, Erwann et Ophélie, ainsi que onze arrière-petits-enfants.

Suite au décès de son mari, elle se rapprochera de son fils Claude, en demeurant rue Dame Dorothée au Val-d’Ajol.

Sa santé déclinant, elle intègre l’EHPAD de Xertigny en juin dernier.

Ses obsèques ont été célébrées le mercredi 25 août en l’église du Val-d’Ajol.

Nos condoléances.

Décès de Mme Janine CHOLLEY

avis de décès

Janine CHOLLEY, née Grandgirard, est décédée à l’EHPAD du Val-d’Ajol le 20 août 2021 où elle résidait depuis 7 ans. Elle a vu le jour le 8 octobre 1928 à Fougerolles-le-Château dans une famille de onze enfants.

Elle unit sa destinée le 7 mai 1948 à Robert CHOLLEY, décédé en 1990.

Le couple s’installe chemin du Fricounot où elle exercera le métier de garde-barrière pendant deux ou trois décennies, tout en élevant leurs cinq enfants : Michou handicapé dont elle prendra soin toute sa vie, Gilles, Claude, Brigitte et Pascal décédé en 2004.

Puis ils résiderons aux HLM, jusqu’à son entrée à la maison de retraite pour raison de santé.

Cinq petits-enfants et sept arrière-petits-enfants élargiront la famille qu’elle aimait recevoir, elle était fine cuisinière. Le tricot était aussi un de ses passe-temps favori.

Ses obsèques ont été célébrées le mardi 24 août en l’église du Val-d’Ajol.

Nos condoléances.

Décès de Mme Marie-Thérèse TISSERAND

avis de décès

Née au lieu-dit  » Les Champs  » au Val-d’Ajol, Marie-Thérèse TISSERAND est décédée à l’EHPAD de la commune le 20 août 2021, à l’âge de 89 ans.

Célibataire, Marie-Thérèse est restée dans la maison familiale qui l’a vue naître et grandir, entourée de ses parents, puis seule après leur décès.

Fine brodeuse initiée par sa maman, elle entrera ensuite aux tissages Tenthorey en tant qu’employée de bureau jusqu’à l’âge de la retraite.

Personne cultivée et discrète, elle laissera un bon souvenir aux Ajolais et Ajolaises qui l’ont côtoyé.

Un hommage lui a été rendu au funérarium de Corbenay en Haute-Saône.

Nos condoléances.

Mariage de Laurence et Fabrice

mariage val d'ajol

Samedi 21 août a été célébré le mariage de Laurence PERRIN, comptable, et de Fabrice GIRARD, VRP en menuiserie, en présence de leurs trois enfants Louis 12 ans, Gabin 7 ans, Lola 6 ans, de leurs familles et amis.

La famille réside au « Moulin Taqueré », lieu-dit du Val-d’Ajol.

Nos félicitations.

Mariage de Christel et Maxine

mariage val d'ajol

Samedi 21 août 2021 a été célébré en mairie du Val-d’Ajol le mariage de Christel HUBER, ergothérapeute, et de Maxime SCHVARTZ, mécanicien à Remiremont.

C’est en présence de Martin 4 ans, Abel 2 ans et Louison 6 mois, leurs enfants, leurs familles et amis, qu’ils ont prononcé le « oui  » solennel devant l’officier d’état civil.

La famille est domiciliée au Val-d’Ajol.

Nos félicitations.

Foire d’antan lors de la fête patronale

Foire du 16 août 1895 :

Ont été conduits pour être exposés au centre de village : 561 paires de bœufs, 44 vaches et génisses, 104 porcs et un certain nombre de mouton.

Le nombre de bœufs est vraiment considérable, tous ne devaient pas trouver place devant la Mairie comme le montre un grand nombre de cartes postales, d’autant que la scierie Remy en occupait une grande partie.

Le surplus était parqué dans les prés et les fossés des alentours du village. Le champ de foire de la route de Plombières ne vit le jour que dans les années 30 sur un pré que la commune acheta pour éviter de souiller de bouses les alentours du Monument aux Morts inauguré de façon provisoire le 27/08/1922.

Pour le porc qui craignait la chaleur et risquait de contracter le rouget, cette maladie qui pouvait ruiner un élevage en l’espace d’une ou deux semaines, le choix d’une foire en août n’était pas judicieux.

Pour les bœufs ajolais, en particulier ceux de race vosgienne, la foire était une bonne chose. Les marchands de bois de tout le département les achetaient en connaisseurs : utiles au débardage en montagne, ils étaient réputés pour avoir le pied sûr et une excellente résistance à la fatigue. On retrouvait également ces bœufs dans les foires qui se tenaient à Senones, au nord du département.

École publique d’HAMANXARD, année 1952, classe de CM2

Transmis à l’Écho des Feuillées par Jean-Marie des Carrières

Institutrice : Mademoiselle LASSUS

1 Guy BARRET9 Bernard DUVAL18 Simone LAMBOLEZ
2 Michel PIERRE10 Bernard DURUPT19 Colette PIERRE
3 Jacqui RODRIGUEZ11 Monique GRANGIRARD20 Marie-Thérèse LAMBOLEZ
4 Alain GULDEMANN12 Germaine STRICH21 Monique DESCHASEAUX
5 Jean-Marie DURUPT13 Suzanne CLAUDE22 Monique DURUPT
6 Jean COULIN14 Mimi LAROCHE23 Reine LEDOUX
7 Jean-Pierre BABEL15 Hervé RICHARDOT24 Gislaine DURUPT
8 Gérard ROMARY16 Robert DUVAL25 Colette DUVAL
 17 Claude PIERRE26 Madeleine PIERRE
  27 Odile VINCENT

École publique d’HAMANXARD, année 1951, classe de CM1

Transmis à l’Écho des Feuillées par Jean-Marie des Carrières

Institutrice : Mademoiselle LASSUS

1 Hervé RICHARDOT10 Gérard ROMARY17 Jean-Marie DURUPT
2 Bernard DUVAL11 Alain GULDEMANN18 Odile VINCENT
3 Popaul CLAUDE12 Colette DUVAL19 Mimi LAROCHE
4 Robert DUVAL13 Paulette LEUVREY20 Nicole BRENAIRE
5 Michel PIERRE14 Marie-Thérèse LAMBOLEZ21 Gislaine DURUPT
6 Jacques RODRIGUEZ15 Monique DESCHASEAUX22 Reine LEDOUX
7 Jean COULIN16 Bernard DURUPT23 Monique DURUPT
8 Guy BARRET 24 Colette PIERRE
9 Claude PIERRE 25 Madeleine PIERRE
  26 Jean-Marie DIETRICH